Pour Cavalia, tout a commencé en 1998 lorsque le créateur Normand Latourelle a été séduit par l’extraordinaire performance d’un cheval dans une production.

Atteindre de nouveaux sommets

À l’âge de 17 ans, Normand Latourelle achète un autobus scolaire et le transforme en autocaravan dans laquelle il installe 12 artistes. Sa carrière dans le monde du divertissement venait de commencer.

Mais ce n’est que 25 ans plus tard qu’il a une idée lumineuse qui allait transformer le monde du cirque à l’échelle mondiale. Il crée alors une grande fresque historique qui regroupe plus d’une centaine d’artistes, de nombreux animaux et un cheval. Soir après soir, le cheval vole la vedette. C’est là que naît l’idée de Cavalia.

Lorsque nous avons commencé, les gens étaient sceptiques. Ils n’avaient jamais rien vu de semblable.

Cavalia

Sans rien connaître aux chevaux, Normand Latourelle a pris le risque et fondé Cavalia, un spectacle de tournée qui comprend d’époustouflants numéros acrobatiques et aériens et plus de 50 « vedettes » chevalines et qui est présenté dans le plus grand chapiteau du monde.

Lorsque Cavalia se déplace d’une ville à l’autre, c’est une flotte de 45 camions qui prend la route, uniquement pour transporter les artistes. Le montage du chapiteau, d’une superficie de 2 440 m2 et qu’il faut aussi transporter, exige le travail de 40 personnes pendant près de deux semaines.

La logistique est complexe, mais pour réussir dans l’industrie du spectacle, il faut prendre des risques.

Cavalia

« Je croyais que nous pourrions tourner peut-être deux ans. Mais depuis 10 ans, le monde entier est notre terrain de jeu. »

Aujourd’hui, Cavalia et Odysseo ont diverti plus de cinq millions de spectateurs dans le monde entier. Grâce à EDC, la compagnie a été en mesure de survivre aux crises économiques et a réussi à s’imposer parmi les plus importantes compagnies de tournée au monde. Et avec les critiques dithyrambiques qui continuent d’affluer de partout, le succès n’est pas près de s’arrêter.

Miser sur le bon cheval

Comme Cavalia, de nombreuses compagnies canadiennes ont assuré leur croissance en vendant leurs produits ou services au-delà de nos frontières.

Cavalia

Vous vous demandez si l’exportation est une bonne chose pour votre entreprise ? Voici quelques risques que vous devez avoir à l’oeil.

  • Risque politique : surveillez les dirigeants gouvernementaux et soyez attentifs aux modifications réglementaires
  • Risque économique : surveillez l’évolution des taux de change des devises
  • Risque social : surveillez les perturbations sociales, les manifestations et les arrêts de travail

La gestion du risque

Cavalia

Lorsque vous vendez vos produits ou services à l’étranger, il est impossible d’éliminer complètement tous les risques, mais cela ne signifie pas que vous devez vous fermer les yeux. Avec une bonne planification et une bonne préparation, vous pouvez non seulement éviter les dommages potentiels à votre entreprise, mais également lui permettre d’être plus flexible et plus concurrentielle et de connaître plus de succès.

La gestion du risque : guide à l’intention des exportateurs vous présente les facteurs déterminants du niveau de risque et explique comment vous pouvez vous préparer aux imprévus.