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Découvrez les secteurs clés, les tendances du marché et comment EDC aide les entreprises canadiennes à se développer en Europe.
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Dans l’environnement mondial imprévisible d’aujourd’hui qui est accablé par des règles commerciales changeantes, des tensions géopolitiques et des défis climatiques, la solide relation du Canada avec l’Europe est un atout stratégique pour les entreprises qui cherchent à croître et à investir dans de nouveaux marchés mondiaux.
Le Canada est un partenaire international clé pour les nations et les institutions démocratiques de l’Europe, et cette relation est fondée sur la confiance, les liens humains, des valeurs partagées et une longue histoire de collaboration économique.
En 2025, le Canada a réaffirmé ces relations et annoncé des initiatives de coopération accrue dans des déclarations communes avec le Royaume-Uni (R.-U.) et l’Union européenne (UE).
À la lumière de nos engagements mutuels en faveur de la primauté du droit, de la lutte contre les changements climatiques, des droits de la personne et d’une ouverture au commerce , l’Europe offre un environnement d’affaires stable, fiable et accueillant aux entreprises canadiennes qui cherchent des possibilités de diversifier leurs marchés.
Et le meilleur dans tout ça? Vous n’avez pas à tout faire par vous-même. Exportation et développement Canada (EDC) aide les entreprises canadiennes à se diversifier sur la scène mondiale. Nous avons des représentants commerciaux dans toute l’Europe qui peuvent vous conseiller sur votre stratégie d’exportation, vous mettre en contact avec notre vaste réseau de partenaires et de ressources ou encore stimuler votre expansion en vous aidant à obtenir du financement et à atténuer les risques.
Regroupant plus de 500 millions de consommateurs aisés, l’Europe constitue un marché tout trouvé pour les biens et services canadiens. Les exportateurs et les investisseurs canadiens bénéficient d’un accès préférentiel à ces clients potentiels grâce à des accords de libre-échange (ALE) avec l’Europe :
Ces dernières années, le Brexit (retrait du R.-U. de l’Union européenne) a rapidement transformé le commerce entre le Royaume-Uni et le reste de l’Europe, ajoutant de la complexité et de l’incertitude à la circulation des biens. Les nouveaux tarifs douaniers imposés par les États-Unis ont également eu une incidence sur les tendances commerciales européennes. Ces perturbations ont créé une ouverture pour le Canada, qui entretient des relations commerciales stables et continues avec le Royaume-Uni et l’UE, appuyées par nos ALE. Les entreprises canadiennes peuvent combler les lacunes laissées par le Brexit et les barrières tarifaires dans des secteurs comme l’agriculture, l’énergie, les finances et la technologie.
Les principales exportations canadiennes vers l’Europe comprennent :
Les 44 marchés de l’Europe représentent une gamme très variée : de petits à grands, de matures à émergents, de spécialisés à diversifiés. Cette variété offre des débouchés aux entreprises canadiennes de toutes tailles, dans pratiquement tous les secteurs.
Au cours de la dernière décennie, l’Europe a été confrontée à un ensemble complexe de défis pour sa croissance économique, résultant à la fois de problèmes structurels internes et de pressions géopolitiques, notamment :
Malgré ces pressions, les Perspectives économiques mondiales d’EDC prévoient une croissance modérée de 1 % en 2025 et de 1,3 % en 2026 pour la zone euro.
Avec un commerce bilatéral totalisant 118 milliards de dollars en 2024, l’UE est le deuxième partenaire commercial en importance du Canada. Elle comprend 27 pays et une population estimée à 511 millions d’habitants. À l’échelle de la planète, l’UE est le plus grand bloc commercial et la deuxième économie en termes de produit intérieur brut (PIB) nominal.
Sur les 27 États membres du bloc, 19 ont adopté l’euro, la monnaie commune de l’UE. Ces marchés sont collectivement appelés la zone euro. Les chaînes d’approvisionnement industrielles sont profondément intégrées dans l’ensemble de l’UE et le bloc jouit d’un accès préférentiel aux principaux marchés hors UE sur le continent.
Bien que leurs économies et leurs régimes réglementaires soient étroitement liés, chaque marché au sein de l’UE présente des caractéristiques qui lui sont propres. Les exportateurs feraient bien d’étudier attentivement chaque marché lorsqu’ils envisagent les possibilités d’exportation dans l’UE.
Le Royaume-Uni est le plus grand marché européen en dehors de l’UE. Avec près de 70 millions d’habitants et un PIB nominal de 3 800 milliards de dollars américains, le Royaume-Uni est un marché attrayant pour le Canada et la principale destination pour l’investissement direct canadien en Europe.
La Suisse, la Norvège, l’Islande et le Liechtenstein ne font pas partie de l’UE, mais participent au Marché unique européen.
La Türkiye participe à l’union douanière de l’UE et est candidate à l’adhésion à part entière à l’UE, mais les négociations sur son acceptation n’ont pas progressé au cours de la dernière décennie.
Neuf autres États sont candidats à l’adhésion à l’UE, sans qu’aucun délai n’ait été fixé pour leur acceptation : l’Albanie, la Bosnie-Herzégovine, le Kosovo, le Monténégro, la Macédoine du Nord et la Serbie dans les Balkans occidentaux, ainsi que la Géorgie, la Moldavie et l’Ukraine en Europe de l’Est.
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Les renseignements sur les marchés d’EDC dénotent une correspondance entre la demande régionale et l’offre canadienne dans les secteurs suivants.
L’Europe compte plus d’un demi-milliard de consommateurs qui apprécient les produits alimentaires de grande qualité. Nos accords commerciaux ont éliminé la plupart des droits de douane sur les exportations agroalimentaires canadiennes, ce qui confère au Canada un avantage concurrentiel.
Les débouchés européens dans l’agroalimentaire ne se limitent pas à la vente d’équipement agricole et d’aliments. L’agriculture évolue en Europe. Les secteurs liés à la production alimentaire auxquels on ne penserait pas de prime abord, comme l’IA générative et les nanotechnologies, prennent de plus en plus de place. En effet, les entreprises canadiennes de différents secteurs et sous-secteurs ont maintenant accès à nombre de débouchés, plus particulièrement dans le domaine de la numérisation, des technologies propres, de la fabrication de pointe, du développement durable, de la gestion de l’eau et des eaux usées ainsi que des produits de marque maison.
L’UE est un chef de file de l’action climatique à l’échelle du globe et l’un des marchés mondiaux les plus prometteurs pour la décarbonation et la transition énergétique.
Le pacte vert pour l’Europe, annoncé en 2019, prévoit des investissements dans l’innovation, les technologies propres et les infrastructures vertes afin d’atteindre l’objectif de carboneutralité de l’UE d’ici 2050. Dans le cadre du plan REPowerEU, tous les producteurs industriels de l’UE doivent inclure au moins 40 % d’énergie renouvelable dans leur approvisionnement énergétique d’ici 2030.
Les efforts de l’UE pour se décarboner et diversifier ses sources d’énergie ont pris un caractère plus pressant après l’invasion massive de l’Ukraine par la Russie en 2022, qui a fait grimper les prix et a révélé le risque de dépendre des exportations de combustibles fossiles d’une puissance hostile. En 2025, l’UE a publié un plan en vue d’éliminer sa dépendance à l’égard des importations d’énergie russes tout en offrant des solutions de rechange abordables aux citoyens et à l’industrie.
Compte tenu de ces priorités, les pays d’Europe sont donc très disposés à se prévaloir des solutions canadiennes en matière de technologies propres et d’énergie. Nos principales exportations d’énergies renouvelables comprennent :
Le Canada dispose également d’atouts majeurs dans le secteur des eaux et des eaux usées en raison de son infrastructure de pointe. Les domaines les plus prometteurs pour les entreprises canadiennes sont l’efficacité énergétique, l’automatisation, le traitement des eaux usées ainsi que la réduction des déversements et de la pollution.
La guerre russe contre l’Ukraine a bouleversé les hypothèses acceptées concernant la sécurité en Europe depuis la fin de la guerre froide. La seconde administration Trump exigeant des dépenses militaires plus élevées de la part de ses partenaires de l’OTAN (Organisation du Traité de l’Atlantique Nord), les États européens et l’UE se sont engagés à développer et à diversifier le secteur européen de la défense et de la sécurité.
Des partenaires fiables, comme le Canada, ont reconnu l’importance de garantir la sécurité de l’Ukraine. En juin 2025, le Canada a signé un partenariat stratégique de défense et de sécurité avec l’UE. L’entente permet aux entreprises canadiennes de participer au plan « ReArm Europe »-Préparation à l’horizon 2030 de l’UE, dont la valeur est estimée à 1 250 milliards de dollars. Ce plan vise à accroître rapidement les dépenses liées à la défense européenne par l’intermédiaire de divers mécanismes financiers.
Lorsque la guerre d’agression russe prendra fin, l’Ukraine sera confrontée à la tâche colossale de rebâtir son économie et ses infrastructures détruites. Les entreprises canadiennes verront alors des possibilités considérables dans presque tous les secteurs, de l’ingénierie à l’agroalimentaire en passant par les soins de santé et les technologies. EDC continue de surveiller la situation et demeure déterminée à soutenir les entreprises canadiennes désireuses d’exporter sur ce marché.
La création d’une chaîne d’approvisionnement diversifiée et résiliente pour les minéraux critiques est une priorité stratégique pour l’UE. En tant que premier producteur occidental d’aluminium, de nickel et de platine, ainsi qu’une source importante de cuivre, le Canada a le potentiel de mettre en production une quantité importante de minéraux critiques, soutenant ainsi l’électrification, la décarbonation et la sécurité nationale de l’UE. La coopération entre le Canada et l’UE en matière de minéraux critiques offre des possibilités stratégiques au secteur minier canadien.
Quel marché d’Europe se prête le mieux à la stratégie et aux capacités de votre entreprise? Les options sont nombreuses, mais selon les renseignements sur les marchés d’EDC, le potentiel pour les exportateurs canadiens est particulièrement élevé dans les pays ci-dessous.
Les entreprises canadiennes qui cherchent à étendre leurs activités de l’autre côté de l’Atlantique devraient envisager le Royaume-Uni comme marché cible. Le Royaume-Uni, qui compte 69 millions d’habitants, est la sixième économie mondiale par rapport au produit intérieur brut (PIB) et compte de nombreux marchés diversifiés fortement intégrés à l’Union européenne. Le Royaume-Uni est un chef de file mondial dans les domaines des services financiers, des industries créatives, des sciences de la vie, de l’aéronautique et des énergies renouvelables.
Le Royaume-Uni est une destination attrayante pour les entreprises canadiennes en raison des éléments suivants :
En 2024, le Royaume-Uni est devenu la deuxième destination des exportations de biens et de services du Canada (40,2 milliards de dollars canadiens au total) en devançant la Chine (38,1 milliards de dollars canadiens).
Les entreprises canadiennes qui exercent leurs activités au Royaume-Uni peuvent profiter de l’Accord de continuité commerciale Canada–Royaume-Uni (ACC Canada-Royaume-Uni), qui est entré en vigueur le 1er avril 2021. Cet accord préserve les principaux avantages de l’Accord économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l’Union européenne, notamment l’élimination des droits de douane sur 98 % des produits exportés vers le Royaume-Uni. Cela signifie que les exportateurs canadiens continuent de bénéficier d’un accès préférentiel au marché britannique.
En décembre 2024, le Royaume-Uni a adhéré à l'Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP), qui regroupe le Canada et dix autres pays. Le Canada n'a pas encore ratifié l'adhésion du Royaume-Uni au PTPGP, mais l'inclusion du pays pourrait accroître les échanges commerciaux entre le Canada et le Royaume-Uni.
Malgré les tarifs douaniers et les autres défis liés au commerce international, le Royaume-Uni offre d’importants débouchés à l’exportation aux entreprises canadiennes de toutes tailles.
Source : Haver Analytics, Services économiques d'EDC
L’Allemagne est une option intéressante pour les entreprises canadiennes qui souhaitent développer leurs activités en Europe. Comptant 84,6 millions d’habitants, l’Allemagne est le pays le plus peuplé de l’Union européenne (UE). C’est la plus grande économie d’Europe et la troisième économie du monde. Elle possède une économie forte et diversifiée qui excelle dans des secteurs tels que l’industrie manufacturière, l’ingénierie, les énergies renouvelables, la biotechnologie et l’innovation numérique.
L’Allemagne offre de nombreux avantages aux entreprises canadiennes :
L’Allemagne et le Canada entretiennent depuis longtemps des relations amicales dans les domaines du commerce, de l’investissement, de la science, de la technologie et de la culture. Nous partageons également les mêmes valeurs, telles que la démocratie, les droits de la personne, la sécurité, les changements climatiques et le multilatéralisme.
L’Allemagne est le premier marché d’exportation de marchandises du Canada dans l’UE et son cinquième partenaire commercial à l’échelle mondiale. En 2024, les échanges bilatéraux de marchandises se sont élevés à 26,5 milliards de dollars. L’Allemagne et le Canada sont également d’importants partenaires commerciaux dans le secteur des services.
Le Canada et l’Allemagne bénéficient de l’Accord économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l’Union européenne (UE) qui est entré en vigueur provisoirement le 21 septembre 2017.
Source : Haver Analytics, Services économiques d'EDC
La France est la deuxième économie de l’Union européenne et une destination culturelle et touristique de premier plan. C’est aussi un pays très influent et diversifié, avec une forte présence dans des secteurs comme l’aéronautique, l’agroalimentaire, les technologies propres, les technologies financières et les sciences de la vie.
La France est une cible attrayante pour les exportations canadiennes pour les raisons suivantes :
En 2024, le commerce bilatéral de marchandises entre nos deux pays s’est élevé à 14,3 milliards de dollars et les exportations de marchandises canadiennes vers la France ont été évaluées à un peu moins de 4,4 milliards de dollars.
Il reste encore beaucoup de potentiel inexploité pour les entreprises canadiennes en France, en particulier pour les petites et moyennes entreprises (PME), car la France et le Canada bénéficient tous deux de l’Accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne (AECG).
En plus d’être l’une des premières destinations culturelles et touristiques du monde, l’Italie est la troisième économie de la zone euro et un proche allié du Canada. Cette relation commune fait de l’Italie une cible attrayante pour les exportations canadiennes, tout comme :
Le commerce de marchandises entre le Canada et l’Italie ont totalisé 15 milliards de dollars en 2024, et ce chiffre peut encore augmenter si davantage d’entreprises tirent parti de l’Accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne (AECG).
Source : Haver Analytics, Services économiques d'EDC
La Pologne offre des débouchés aux entreprises canadiennes qui cherchent à s’implanter en Europe. La sixième économie de l’UE compte une population de 36,5 millions d’habitants et un ensemble diversifié d’industries, allant de la fabrication à la haute technologie. La Pologne offre de vastes possibilités de commerce, d’investissement et de collaboration.
La Pologne est un choix judicieux pour les investissements des entreprises canadiennes en raison de ses atouts suivants :
La Pologne est également une plaque tournante du transport et de la logistique, avec un réseau routier et ferroviaire bien développé, plusieurs ports maritimes et aéroports, et un accès à la mer Baltique. Les investissements étrangers en Pologne portent leurs fruits : En 2020, la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement a classé la Pologne au deuxième rang en Europe pour ce qui est du rendement du capital investi (RCI) pour les investisseurs étrangers.
Les entreprises canadiennes faisant des affaires en Pologne peuvent tirer parti des accords de libre-échange du pays, dont l’Accord économique et commercial global (AECG), pour accéder à de nouveaux marchés en Europe et au-delà.
Bien des entreprises canadiennes profitent des débouchés en Pologne. En 2024, les exportations canadiennes de marchandises vers la Pologne se sont élevées à 1,3 milliard de dollars. Selon le Service des délégués commerciaux (SDC) il y a encore beaucoup de potentiel inexploité pour les entreprises canadiennes, y compris les PME, entre autres dans les secteurs de l’agroalimentaire et des produits de la mer, des technologies propres, des technologies financières et des sciences de la vie.
Source : Haver Analytics, Services économiques d'EDC
L’Europe est un marché vaste et lucratif pour les entreprises canadiennes. Les accords commerciaux ont supprimé la plupart des barrières commerciales, faisant de cet immense marché de 445 millions de consommateurs une cible tentante pour les entrepreneurs de notre pays. Les exportations canadiennes vers l’UE ont déjà augmenté de 17 % depuis la mise en œuvre de l’Accord économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l’Union européenne (UE), et ce n’est que le début.
Les entreprises canadiennes qui souhaitent s’implanter en Europe doivent être bien préparées à faire face aux obstacles potentiels. Des réglementations nombreuses et complexes, la concurrence des entreprises locales et les incertitudes politiques et économiques persistantes font de l’Europe un marché gratifiant, mais difficile pour les exportateurs potentiels. Pour réussir, les entrepreneurs canadiens doivent comprendre et respecter les règles du Royaume-Uni et de l’UE, s’adapter aux marchés locaux et offrir une qualité et une valeur supérieures à ce que les clients européens avertis peuvent trouver sur le marché intérieur.
Comment les exportateurs canadiens peuvent atténuer les risques et réussir sur des marchés européens florissants.
Trouver de nouveaux clients, fournisseurs et partenaires, comprendre la culture des affaires et les lois commerciales locales, se familiariser avec la logistique de l’expédition de marchandises : voilà quelques défis à surmonter pour faire des affaires à l’étranger.
Mais vous n’avez pas à tout faire par vous-même. Un réseau d’organismes canadiens axés sur le commerce unit ses forces pour vous aider à vous lancer à l’étranger. En collaboration avec les délégués commerciaux à l’étranger, EDC peut vous mettre en relation avec des personnes réputées dont la fiabilité a été vérifiée, comme des agents, des distributeurs, des avocats, des comptables, des traducteurs, des interprètes linguistiques et culturels, des courtiers en douane, des représentants du gouvernement et des acheteurs potentiels aux quatre coins de l’Europe.
Nous offrons aussi des solutions de financement, de gestion des risques et d’augmentation du fonds de roulement pour aider les entreprises canadiennes à réussir à l’étranger.
Le SDC aide les entreprises canadiennes à se développer en leur fournissant des conseils pratiques et exploitables sur les marchés étrangers. Le SDC de la Grande-Bretagne et de l’Union européenne fournit des renseignements sur le terrain pour aider les Canadiens à s’y retrouver dans les règles et règlements européens, à tirer parti des traités commerciaux existants et à prendre des décisions opportunes et rentables. Il aide également les entreprises canadiennes à trouver des débouchés internationaux et des programmes de financement et de soutien grâce à son réseau mondial de délégués commerciaux.
Les clients du SDC peuvent être :
Fondée en 1991, la BERD peut contribuer au repérage de nouveaux débouchés pour les entreprises canadiennes faisant des affaires dans certains pays en transition vers une économie de marché libéralisée. Comme le Canada joue un rôle important dans les activités de la BERD à titre de membre fondateur, les entreprises d’ici ont la possibilité de soumissionner les projets financés par cette institution en Europe orientale et centrale, en Asie centrale et dans le sud et l’est de la région méditerranéenne.
Les entreprises canadiennes peuvent participer au Programme d’aide aux échanges commerciaux pour faciliter leurs transactions dans les pays où la BERD est active. Grâce à l’institution, les entreprises d’ici trouveront et saisiront plus facilement des occasions d’affaires sur des marchés qu’elles n’auraient autrement pas envisagés, avec la certitude que la BERD supervisera leurs projets.
L’AECG élimine les droits de douane sur la quasi-totalité des biens échangés entre le Canada et l’Union européenne et offre un meilleur accès aux services, aux investissements, aux marchés publics et à la coopération en matière de réglementation. L’AECG crée également de nouvelles possibilités de collaboration dans des domaines comme la recherche et l’innovation, les technologies propres, l’économie numérique et le développement durable.
L’ACC Canada-Royaume-Uni garantit que les entreprises canadiennes continueront d’avoir accès au marché britannique dans les mêmes conditions que l’AECG. L’ACC Canada-Royaume-Uni prévoit également la poursuite de l’élimination des droits de douane sur les marchandises échangées entre le Canada et le Royaume-Uni, ce qui donne aux exportateurs canadiens un avantage sur les marchés britanniques et assure une plus grande stabilité des échanges entre les deux pays.
L’ALECU a été signé en 2016 et prévoit l’élimination des droits de douane sur les marchandises échangées entre les deux pays. Il comprend également des dispositions relatives aux obstacles non tarifaires au commerce, tels que les règlements techniques et les mesures sanitaires. L’ALECU donne aux entreprises canadiennes un meilleur accès au marché ukrainien.
Quels sont les principaux secteurs d’exportation vers l’Europe en 2025 ?
L’agroalimentaire, les technologies propres, les minéraux critiques, la défense et la fabrication de pointe.
Comment les entreprises canadiennes peuvent-elles pénétrer au marché européen ?
Grâce à des accords commerciaux comme l’AECG et au soutien des experts d’EDC sur le marché.
L’Europe est-elle un bon marché pour les exportateurs canadiens en 2025 ?
Oui. L’Europe offre une stabilité, une forte demande et un accès commercial préférentiel.
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