Comme le disait votre mère : « Ça suffit, les excuses! »

Si vous n’exportez pas déjà, vous avez sans doute une longue liste de justifications – des obstacles imaginés en fixant le plafond au milieu de la nuit, qui vous semblent insurmontables et vous retiennent de vendre vos biens et services à l’extérieur du Canada. En collaboration avec nos partenaires du Service des délégués commerciaux (SDC), nous vous présentons les six principaux mythes qui vous empêchent peut-être d’étendre vos activités à l’étranger.

Six mythes sur l’exportation qui entravent peut-être la croissance de votre entreprise

1er mythe : Il faut être une grosse entreprise.

Les entreprises de toutes tailles peuvent se faire une place sur les marchés mondiaux. D’ailleurs, des milliers de petites et moyennes entreprises (PME) canadiennes – c’est-à-dire dont le chiffre d’affaires se situe entre 30 000 $ et 5 millions de dollars – exportent et y trouvent leur compte.

2e mythe : C’est trop compliqué.

Heureusement, vous n’êtes pas obligé de tout faire vous-même. À Exportation et développement Canada (EDC), nous avons les connaissances spécialisées, les solutions financières et les relations pour vous aider à toutes les étapes de votre parcours d’exportateur – de la prospection de clients étrangers à la gestion des commandes en passant par l’accès au capital et la livraison de la marchandise.

3e mythe : La concurrence est trop féroce.

Si vous faites des ventes au Canada, pourquoi ne pourriez-vous pas avoir des clients ailleurs? Vos prix ne sont pas le seul facteur. Votre capacité concurrentielle peut découler, par exemple, des besoins de la clientèle, de la qualité de vos produits et services et des préférences des consommateurs.

4e mythe : C’est trop risqué.

Il suffirait qu’un seul de vos clients refuse ou ne soit pas en mesure de vous payer pour que vous vous retrouviez à la rue? La spécialité d’EDC : vous aider à gérer et à atténuer les risques.

5e mythe : Je ne peux pas me le permettre.

Un flot soudain de nouvelles commandes de clients étrangers ne vous oblige pas nécessairement à faire d’importantes dépenses d’investissement ou à embaucher une nouvelle cohorte d’employés. EDC, le SDC, la Banque de développement du Canada (BDC) et d’autres organisations vous offrent différentes solutions – assurances, soutien en matière d’accès aux marchés, fonds de roulement supplémentaires, etc. Ces services sont abordables, et parfois même gratuits. Le Réseau Entreprises Canada peut aussi vous fournir de l’information sur le financement à l’exportation.

6e mythe : Je ne parle pas la langue et ne connais pas les pratiques commerciales des autres pays.

Heureusement, l’anglais est la langue internationale des affaires. Au pire cas, il est facile de trouver un interprète local. Même si vous n’avez pas une connaissance pointue de l’étiquette des affaires sur votre marché cible, on sera compréhensif dans la plupart des pays si vous montrez votre désir d’apprendre. Pour avoir une longueur d’avance, visionnez notre webinaire sur demande concernant la culture des affaires à l’international ou cliquez sur ces liens pour plus d’information.

Toujours nerveux? Pour surmonter vos inquiétudes, visitez gratuitement notre Centre aide-export en ligne, où vous trouverez des réponses à vos questions sur l’exportation aux États-Unis et vers l’Union européenne. Si vous préférez discuter de vos préoccupations de vive voix, planifiez un appel avec l’un de nos conseillers en commerce par téléphone (1-888-220-0047) ou par courriel (tradeadvisor-conseiller@edc.ca).