Depuis Samsung jusqu’à la série Le jeu du calmar, en passant par Kia et la K-pop, la République de Corée — mieux connue sous le nom de Corée du Sud — abrite des marques qui jouissent d’une notoriété mondiale. Ces réussites témoignent de la détermination de ce pays, affaibli au 20e siècle par des guerres dévastatrices, la pauvreté, l’instabilité politique et les crises financières, pour ensuite se relever et bâtir une économie de marché particulièrement dynamique.
La Corée du Sud s’est métamorphosée en plaque tournante mondiale des produits de haute technologie, de l’innovation numérique et des technologies de fabrication de pointe. Quatrième économie d’Asie et douzième au monde, la Corée du Sud affichait un produit intérieur brut (PIB) nominal de 1 900 milliards de dollars américains en 2024.
Exportation et développement Canada (EDC) a qualifié la Corée du Sud de « joyau insoupçonné » pour les entreprises canadiennes qui souhaitent explorer des marchés non traditionnels. Véritable porte d’entrée sur les marchés de la région de l’Indo-Pacifique, la Corée du Sud allie forte croissance et stabilité, ce qui en fait un marché attrayant pour les exportateurs et les investisseurs canadiens.
Le paysage politique de la Corée du Sud s’est stabilisé après la crise constitutionnelle de 2024. Le nouveau président, Lee Jae Myung, a remporté une victoire décisive aux élections du 3 juin 2025. Le parti démocratique contrôle désormais tant le pouvoir exécutif que le pouvoir législatif du gouvernement, positionnant le président Lee de façon idéale pour mettre en œuvre son programme de stimulation de la croissance économique et de la consommation.
La plateforme « Une croissance réelle » en 123 points du président Lee, généralement décrite comme étant la vision 3.3.5 de la Corée du Sud, fixe des objectifs ambitieux :
- faire partie des trois principaux chefs de file mondiaux dans le domaine de l’IA;
- faire passer la croissance économique annuelle à 3 % (présentement à 1,8 %);
- devenir l’une des cinq plus importantes puissances économiques mondiales.
La Corée du Sud annonçait récemment son intention de créer un Fonds de croissance nationale de 1 500 milliards de wons (150 milliards de dollars canadiens) afin de favoriser la croissance économique par un remaniement de certaines industries clés. Le pays investira dans les secteurs des hautes technologies et dans leurs chaînes d’approvisionnement pour les aider à devenir plus concurrentiels. Ces politiques et ces investissements pourraient améliorer les possibilités d’affaires entre le Canada et la Corée du Sud dans les domaines des semi-conducteurs, de l’IA, des biotechnologies, de la transformation numérique et de l’énergie verte au cours des cinq prochaines années, et même au-delà.
La dynamique et la rumeur positive à propos de la relation entre le Canada et la Corée du Sud sont plus fortes que jamais — et mutuelles! Il existe une volonté réelle de créer de nouveaux réseaux et d’accroître le commerce.
De solides liens politiques, sociaux et économiques entre le Canada et la Corée du Sud ont pavé la voie à un commerce florissant. La coopération entre les deux pays remonte à plusieurs décennies et des relations diplomatiques officielles existent depuis 1963. En 2022, le Canada et la République de Corée ont conclu un partenariat stratégique global qui porte sur des priorités communes au chapitre des valeurs, de la sécurité, de la prospérité, du développement durable et plus.
En 2025, le Canada et la Corée du Sud soulignent le dixième anniversaire de l’Accord de libre-échange Canada-Corée (ALECC). À ce jour, cette entente a permis à 93 % des exportations canadiennes vers la Corée du Sud d’être exemptées des droits de douane – une proportion qui atteindra 99,75 % d’ici 2032.
Au cours des dix années qui se sont écoulées depuis la signature de l’ALECC – le premier accord de libre-échange du Canada avec une nation de l’Asie-Pacifique –, le commerce bilatéral a augmenté. En 2024, la Corée du Sud était le septième partenaire commercial du Canada en importance et son sixième marché d’exportation de marchandises. La même année, les entreprises canadiennes ont exporté 7,6 milliards de dollars de marchandises en Corée.
Les exportations canadiennes vers la Corée dépassent désormais celles vers la France et l’Italie combinées. Avec des terminaux méthaniers installés sur la côte Ouest approvisionnant maintenant l’Indo-Pacifique, les exportations canadiennes en Corée du Sud sont sur la voie de la croissance.
Les 51,8 millions de Sud-Coréens jouissent d’un niveau de vie enviable. En 2024, le revenu national brut par personne de la Corée s’élevait à 36 624 USD, plaçant le pays en sixième position parmi les nations de plus de 50 millions d’habitants — devançant le Japon et Taiwan. Ce pouvoir d’achat collectif dynamise le marché de détail national déjà prospère, où la demande est forte pour les produits et services numériques, les aliments frais et transformés, les articles de luxe et les articles de loisir.
« Les consommateurs sud-coréens font des choix fondés sur leurs valeurs et sont sensibles au prix. Ils sont disposés à payer davantage pour des produits de qualité et des marques mondiales haut de gamme, mais ils étudient attentivement la qualité et les prix des produits avant de décider d’acheter », explique Joonhyung Park, gestionnaire régional principal d’EDC pour la Corée du Sud.
De pair avec le gouvernement canadien, EDC a qualifié la Corée de marché prometteur pour les exportateurs canadiens en raison des avantages distincts dont nous profitons et qui peuvent ouvrir la voie à une augmentation de nos exportations.
- L’ALECC offre une stabilité et une prévisibilité au commerce entre nos deux pays. Au vu des nouveaux droits de douane et des fluctuations géopolitiques qui rendent le commerce mondial incertain, cette entente est un atout pour les entreprises cherchant des occasions de diversifier leurs marchés.
- La « marque Canada » est très appréciée en Corée. Les consommateurs perçoivent le Canada comme un pays fiable abritant un environnement sain et des ressources naturelles abondantes. Ces associations positives se reflètent sur une foule de choses, des aliments frais jusqu’aux équipements et vêtements de sport. Les marques canadiennes profitent de cette notoriété pour croître dans un marché solide. Cinquième pays en importance en Asie pour les ventes au détail et acteur de plus en plus présent sur le marché des produits de luxe, la Corée du Sud est de surcroît l’un des principaux marchés mondiaux de vêtements d’extérieur.
- Le Canada et la Corée du Sud ont exprimé leur volonté de collaborer pour améliorer la résilience des chaînes d’approvisionnement et faciliter la transition vers les énergies propres, y compris en menant des activités de recherche et de développement conjointes à fort potentiel de commercialisation. Les initiatives qui en résulteront généreront des débouchés pour les secteurs canadiens des minéraux critiques, de la fabrication de pointe et des technologies propres.
Les secteurs les plus prometteurs pour les exportateurs canadiens comprennent :
- l’agroalimentaire;
- les technologies propres et le financement d’infrastructures technologiques propres;
- la fabrication de pointe;
- les minéraux critiques.
Dans le cadre de la stratégie d’EDC en Indo-Pacifique pour stimuler le commerce dans la région, EDC a ouvert un bureau à Séoul en 2023. L’équipe d’EDC sur place forge des relations avec des entreprises et des institutions sud-coréennes pour trouver des possibilités d’affaires que les entreprises canadiennes pourraient négliger autrement.
Après deux années passées dans ce marché, Joy Rankothge, représentant en chef d’EDC pour la Corée du Sud, affirme que « la dynamique et la rumeur positive à propos de la relation entre le Canada et la Corée du Sud sont plus fortes que jamais — et mutuelles! Vous pouvez le constater par les nombreuses visites du secteur privé et public, ainsi que les délégations et les missions commerciales qui se produisent dans les deux pays. Il existe une volonté réelle de créer de nouveaux réseaux et d’accroître le commerce. »
Depuis 2023, EDC a pris part à de nombreux événements sectoriels et établit des partenariats avec d’importantes organisations sud-coréennes, notamment :
- Korea Eximbank — L’organisme de crédit à l’exportation officiel de la Corée du Sud.
- Le Groupe SK — Le deuxième conglomérat sud-coréen en importance.
- La Korea Trade Insurance Corporation (la société coréenne d’assurance commerciale), ou K-SURE — L’organisme de crédit à l’exportation officiel du ministère du Commerce, de l’Industrie et de l’Énergie.
- Lotte Shopping — Le géant coréen du commerce de détail tous canaux, qui offre de tout, des articles ménagers jusqu’aux marques de luxe en passant par les grands magasins, les hypermarchés, les ventes à domicile (téléachat) et le commerce électronique.
« Nos relations avec nos partenaires locaux permettent à EDC de mieux soutenir les exportateurs canadiens sur le terrain et d’étendre le commerce bilatéral entre nos pays », explique M. Rankothge. « Nous sommes ravis de voir les portes s’ouvrir pour les entreprises canadiennes sur ce marché dynamique. »
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Dans ce billet, EDC résume l’étiquette à observer sur ce marché stratégique.
Restreinte par des capacités intérieures limitées dans ce secteur, la Corée du Sud est un importateur net de produits alimentaires. En 2020, le Canada était le dixième fournisseur de produits agroalimentaires de la Corée du Sud, avec des exportations de l’ordre de 1,2 milliard de dollars, et la douzième source d’importation d’aliments transformés. Nul doute que notre part du marché coréen augmentera à mesure que l’ALECC supprimera les droits à l’importation d’un nombre croissant de produits agricoles, alimentaires et agroalimentaires canadiens. En plus d’un accès préférentiel au marché, les entreprises agroalimentaires canadiennes peuvent aussi tirer profit des préférences changeantes du marché chez les consommateurs coréens.
- Les Coréens se préoccupent de plus en plus de leur santé et de la salubrité des aliments qu’ils consomment. Ils veulent faire leurs achats auprès de sources de confiance.
- Les consommateurs de la classe moyenne sont prêts à payer plus pour ajouter des aliments de qualité supérieure et plus dispendieux (viandes, fruits de mer, produits frais, aliments biologiques) à leur régime alimentaire.
- Les Coréens prisent de plus en plus la nourriture traditionnelle occidentale, comme les produits laitiers et les aliments à base de blé, que le Canada peut fournir en abondance.
L’Accord sur l’équivalence des produits biologiques conclu entre le Canada et la Corée du Sud, signé en 2023, permet aux aliments biologiques transformés canadiens d’entrer sur ce marché sans devoir obtenir de certification additionnelle. La Corée du Sud est également un marché important pour les produits de santé et de bien-être, les compléments nutritionnels et les aliments fonctionnels (les produits rehaussés de nutriments ou de substances bénéfiques).
Annoncé en 2020, le nouveau pacte vert de la Corée du Sud a établi le plan du pays pour accélérer la transition nationale vers les énergies propres et atteindre la carboneutralité d’ici 2050. La Corée du Sud a réservé environ 60 milliards de dollars américains au développement de sources d’énergie renouvelables. Bien que les progrès à ce jour ne soient pas à la hauteur des ambitions initiales du plan, le pays demeure engagé à réduire sa dépendance sur les importations de combustibles fossiles et à éliminer progressivement les centrales thermiques au charbon.
La sécurité énergétique est une priorité pour le président Lee. Reconnaissant le besoin d’un approvisionnement énergétique stable afin de soutenir l’innovation dans le domaine de l’IA, la Corée du Sud a maintenant adopté une politique énergétique équilibrée qui intègre tant les énergies renouvelables que nucléaires, deux secteurs d’expertise pour le Canada. Les entreprises canadiennes pourraient trouver des possibilités de partenariat avec la Corée dans les minéraux critiques, les technologies d’énergie propre et les petits réacteurs modulaires.
Une fois entièrement mis en œuvre, l’ALECC éliminera les droits de douane sur tous les produits de technologie durable, ce qui aidera les producteurs canadiens à mieux concurrencer les acteurs nationaux de ce secteur.
En tant que carrefour industriel de pointe qui dépend de l’importation de minéraux critiques, la Corée du Sud est très motivée à diversifier sa chaîne d’approvisionnement en minéraux critiques. Les ressources abondantes du Canada, son solide écosystème minier et sa réputation pour ses pratiques d’affaires responsables font du pays un partenaire attrayant dans ce secteur.
La Corée du Sud est devenue un joueur important dans le domaine des investissements miniers à l’échelle mondiale, et tout spécialement lorsqu’il s’agit d’obtenir des minéraux critiques pour ses industries de haute technologie. De grandes entreprises internationales, comme POSCO, LG et Samsung, travaillent avec des promoteurs de projets du secteur des minéraux critiques visant à assurer l’obtention de ces composants essentiels à la fabrication de leurs produits.
Compte tenu de la richesse des ressources naturelles du Canada sur le plan des minéraux critiques, cette situation présente des possibilités de collaboration croissantes entre le Canada et la Corée. Les entreprises sud-coréennes ont déjà investi au Canada et nous nous attendons à ce que cela se produise davantage à l’avenir.
Les gouvernements canadien et coréen ont aussi convenu de collaborer davantage dans le domaine des minéraux critiques utilisés pour la production de batteries de véhicules électriques et de renforcer leur partenariat stratégique concernant la résilience des chaînes d’approvisionnement et les chaînes de valeur de la filière électrique.
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Minerais et métaux, filière nucléaire, automobile, technologies propres, services : les tendances
Le climat des affaires de la Corée du Sud est l’un des plus favorables de l’Indo-Pacifique. L’économie du pays repose fortement sur le commerce international et il existe très peu de restrictions quant à l’investissement et à la propriété par des acteurs étrangers. On y trouve :
- une économie ouverte;
- des politiques publiques propices au commerce;
- des normes améliorées en matière de gouvernance d’entreprise.
Le pays se démarque aussi par ses infrastructures de premier plan, sa volonté d’innover, sa main-d’œuvre hautement scolarisée et son faible taux de criminalité.
Néanmoins, l’environnement des affaires n’est pas sans présenter quelques défis. « Le marché de la consommation en Corée du Sud est extrêmement dynamique et à l’avant-garde des tendances régionales et mondiales, fait remarquer M. Rankothge. Pour réussir, les entreprises canadiennes devront s’adapter à l’évolution rapide du marché et accroître leurs capacités pour répondre aux exigences locales. »
Voici quelques-uns des principaux obstacles auxquels les entreprises canadiennes doivent faire face :
- Un cadre réglementaire complexe;
- Une gestion de la logistique dans un marché éloigné;
- Une vive concurrence entre fournisseurs nationaux et étrangers;
- Une difficulté à comprendre les besoins et les goûts locaux ainsi que les tendances qui changent rapidement;
- Une méconnaissance des entreprises nationales qui dominent le commerce de détail coréen;
- Une culture d’entreprise insulaire et hiérarchique difficile à saisir pour de nombreux étrangers.
Au vu de ces difficultés particulières, les entreprises canadiennes auront tout avantage à embaucher un partenaire local qui parle coréen et qui comprend les traditions, les normes et les processus du pays afin de pénétrer ce marché.
Malgré ses efforts d’ouverture et de diversification, l’économie de la Corée du Sud demeure largement dominée par d’immenses conglomérats qu’on appelle les chaebols. Certains sont bien connus au Canada, comme Samsung, Hyundai et LG. Ces sociétés, sous contrôle familial pour la plupart, exercent une profonde influence sur la politique et l’économie du pays et comptent pour près de 80 % de son PIB.
Apparus au cours de la deuxième moitié du 20e siècle, les chaebols ont contribué à transformer l’économie sud-coréenne, auparavant principalement agricole, en puissance industrielle. Cependant, leur rôle se modifie à mesure que l’économie nationale évolue et s’ouvre aux nouvelles entreprises. Leur influence et leur pertinence économiques demeurent toutefois bien présentes.
Les entreprises canadiennes qui souhaitent exporter en Corée du Sud doivent se familiariser avec les chaînes d’approvisionnement de ces conglomérats et leurs réseaux d’entreprises interconnectées. Comme les chaebols sont actifs dans de multiples secteurs, tirer parti de ces réseaux peut ouvrir la voie à des débouchés plus importants.
Alors qu’EDC met en œuvre sa stratégie pour l’Indo-Pacifique en Corée du Sud, ses représentants sur le terrain s’activent à établir des relations stratégiques avec ces conglomérats afin d’explorer les façons pour les exportateurs canadiens de participer à leurs vastes chaînes d’approvisionnement.
Si vous souhaitez percer le marché sud-coréen, les solutions financières et l’expertise d’EDC peuvent vous aider à comprendre les débouchés et à atténuer les risques liés à l’exportation. Notre Programme de jumelage d’affaires met en valeur le savoir-faire canadien dans des secteurs prioritaires auprès des acheteurs étrangers et leur présente des entreprises canadiennes qui peuvent contribuer à leurs chaînes d’approvisionnement.
« En collaboration avec nos partenaires d’Équipe Canada, nous sommes résolus à bâtir des relations stratégiques avec les chefs de file du marché, à nouer des liens au profit des entreprises canadiennes et à solidifier les relations commerciales qui unissent nos deux pays », a déclaré M. Rankothge au sujet des principaux avantages d’avoir une représentation en Corée du Sud.
EDC fait partie de l’écosystème de spécialistes du commerce du gouvernement du Canada, qui sont là pour vous aider à gagner du temps, vous informer sur vos marchés cibles et faciliter l’accès au capital dont vous avez besoin afin de favoriser la croissance de votre entreprise. Sous la gouverne du Service des délégués commerciaux, ce réseau de ministères et de sociétés d’État axés sur les solutions résout les problèmes d’exportation et offre de nouvelles perspectives pour assurer la croissance et la réussite d’entreprises comme la vôtre au Canada et à l’étranger.
L’Alberta, la Colombie-Britannique, l’Ontario et le Québec ont également des équipes d’aide à l’exportation et à l’investissement sur place en Corée du Sud. Ces bureaux représentent leurs provinces respectives dans ce marché, établissent des relations commerciales et favorisent les exportations provinciales.
Quel que soit votre secteur, vous trouverez le soutien nécessaire pour prospérer dans ce marché séduisant.
Foire aux questions sur le commerce entre le Canada et la Corée du Sud
Quelles sont les principales exportations du Canada en Corée du Sud?
Les minéraux, les métaux communs, la pâte de bois ainsi que les produits agricoles et agroalimentaires.
Comment l’ALECC favorise-t-il les entreprises canadiennes?
L’Accord de libre-échange Canada-Corée (ALECC) offre aux exportateurs canadiens un accès privilégié à la Corée du Sud. Voici les principaux avantages pour les entreprises canadiennes :
- Des droits de douane réduits sur les importations canadiennes en Corée du Sud. Depuis le 1er janvier 2024, 93 % des exportations canadiennes avaient obtenu un accès libre de droits sur le marché coréen, en vertu de l’ALECC. D’ici 2032, l’ALECC permettra d’éliminer ces tarifs douaniers sur 99,75 % des exportations canadiennes.
- Des règles commerciales justes et prévisibles qui réduisent les risques et assurent un traitement équitable des entreprises et des marchandises par l’un et l’autre pays.
- Des procédures simplifiées sur les règles d’origine pour faciliter le dédouanement.
- Des règles d’entrée temporaire améliorées pour les professionnels canadiens, afin de faciliter les affaires pour les exportateurs de services en Corée.
Quels secteurs présentent les meilleurs débouchés pour les exportateurs canadiens intéressés en Corée du Sud?
L’agriculture et l’alimentation, l’énergie et les minéraux critiques, les technologies propres, la fabrication de pointe, l’innovation et les technologies.